J’avais envisagé depuis quelques temps de représenter les femmes dans ma peinture. Elles ont attendu patiemment, silencieuses plusieurs décennies, en retrait de mon travail sur l’homme.
La découverte et la beauté de ces morceaux d’orme et l’envie de peindre sur un nouveau support, m’ont guidé dans mon désir de m’inspirer, des contes et légendes des Déesses des forêts dans la mythologie grecque, et c’est également un hommage aux peintres du symbolisme.
Ces femmes peuvent enfin exercer leurs rôles et leurs pouvoirs.
Jean Remlinger
«Nostalgie ou le voile de la nuit» Huile sur toile de 2001 — 130 x 130 cm
«Dionysos que les nymphes reçurent en leur giron»
Huile sur bois d’orme de 2017 — 50 x 57 cm
«Le gardien des murs d’Uruk»
Huile sur bois de hêtre de 2017 — 66 x 93 cm
« Gilgamesh ou le désir de gloire »
Huile sur bois d’orme de 2017 — 50 x 60 cm «Artémis la beauté dans le miroir de l’eau» Huile sur toile de 2017 — 140 x 180 cm
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